Enceinte, les médicaments, c’est pas n’importe comment !


Enceinte, les médicaments, c’est pas n’importe comment !

« Enceinte, les médicaments, c’est pas n’importe comment », tel est le leitmotiv de la nouvelle campagne de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Sensibiliser au risque que représentent les consommations médicamenteuses pendant la grossesse, tel est l’objectif de cette campagne utile.  Découvrez les 4 conseils clés de l’ANSM.

Préparer sa grossesse avec son médecin ou sa sage-femme

En particulier aux femmes qui suivent un traitement médicamenteux au long cours, l’ANSM recommande de préparer sa grossesse avec son médecin ou sa sage-femme. Ils feront le point sur l’état de santé de la femme et ses traitements. Ils pourront alors décider si nécessaire de les faire évoluer vers des solutions compatibles avec la grossesse. Les médicaments pris sans ordonnance par la femme et ceux pris par le partenaire seront aussi évoqués. Ces échanges permettront de démarrer la grossesse dans les meilleures conditions possibles. En effet, le début de la grossesse est la période où le risque de malformation est le plus important. À ce stade, la grossesse peut ne pas encore être connue.

Pas d’automédication

Certains médicaments, même parmi les plus courants, peuvent comporter des risques pour l’enfant à naître. C’est par exemple le cas des médicaments de la classe des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l’ibuprofène ou l’aspirine qui ne doivent jamais être pris après le 5e mois de grossesse. C’est pour cette raison que le conseil d’un professionnel de santé doit toujours être recherché avant de prendre un médicament, y compris ceux sans ordonnance, ceux issus d’une ancienne prescription, ainsi que ceux à base de plantes et les huiles essentielles.

Ne jamais arrêter seule un traitement prescrit

Découvrir qu’elle est enceinte ne doit jamais amener la femme à décider d’arrêter d’elle-même son traitement ou de modifier les doses prescrites : elle pourrait perdre les bénéfices de son traitement ou voir réapparaitre ses symptômes, ce qui est susceptible de mettre en danger sa santé comme celle de son bébé. Avant toute modification, elle doit demander un avis à son médecin, son pharmacien, sa sage-femme...

Informer de sa grossesse les professionnels de la santé consultés

Une femme enceinte devrait toujours informer de sa grossesse les professionnels de la santé qu’elle consulte. Ils en tiendront ainsi compte dans sa prise en charge.

 

Consulter le dépliant grand public de l’ANSM pour en savoir plus sur les risques liés aux médicaments, à chaque étape de la grossesse.

Source : ANSM

La chiropraxie pour soulager naturellement les maux de la grossesse

La grossesse est une période importante de changements posturaux, hormonaux et physiologiques. La taille et le poids du fœtus évoluent rapidement. Au fil de la croissance du fœtus, la morphologie est modifiée, on constate une accentuation de la cambrure (lordose lombaire), une prise de poids... Cela favorise les douleurs localisées au niveau du bassin et des vertèbres dorsales. Le traitement chiropratique agit sur la mobilité articulaire favorisant ainsi le bien-être quotidien. La chiropraxie est particulièrement indiquée durant la grossesse. Dans une période où la prise de médicaments doit être envisagée avec la plus grande prudence, elle permet de lutter efficacement et naturellement contre la douleur. En savoir plus.


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